1. |
Les Pavillons Blancs
04:27
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Sous les arches, je t’embrasserai
les pavillons blancs
Je prends cette marche, je t’embrasserai
les pavillons blancs
Les noms au mur, je t’embrasserai
les pavillons blancs
le creux au centre, je t’embrasserai
les pavillons blancs
ultime attente, je t’embrasserai
les pavillons blancs
tout, enfin, plus rien ne s’annule
les pavillons blancs
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2. |
Mon Jeu Préféré
04:11
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Mon jeu préféré, mon mont Ventoux à moi
Mon jeu préféré, mon mont Ventoux à moi
Mieux que les caramels du scrabble
Que le sexe effréné
Le gin tonic, une plaie de papier
Oh j’aurais pu tenir à toi, et à personne
Mon jeu préféré, mon mont Ventoux à moi
Mieux que les caramels du scrabble
Que le sexe effréné,
Le gin tonic, une plaie de papier
Voie rapide, oh voie rapide
Nous qui n’aimions que le temps long
Les cafés, les cafés, les cafés ensemble
Les cafés, les cafés, les cafés jusqu’à s’y méprendre
C’est pas « beau », c’est « marin », c’est « tigre »
Je l’ai fait, Fifi, je l’ai fait
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3. |
Des Orties
04:03
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Je couds des orties
sur ta peau glabre et mate
battant des jambes,
le cou tendu, aimable
Presse-moi fort
contre les briques, le marbre
Ecoute moi bien,
tu n’entendras que moi
(instrumental)
Je te regarde
à travers ma télé,
J’ai fait un trou
pour pouvoir t’y toucher
Ventre es-tu là?
réponds par “oui” ou “non”
Le soir je prélève
des poils dans ta maison
Assez de ce tempo
Assez de ce tempo
Assez de ce tempo
Je garde la graine dans ma main
Je garde ma graine en mon sein
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4. |
La Peau Bleutée
05:37
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Oh
J’aimerais avoir
La peau bleutée de
La peau bleutée de ce que tu veux vraiment
Elle ne te fera pas peur
Pas un mot au dessus d’un autre
Elle sera toujours là
(tu ne t’ennuieras jamais)
Et moi,
juste moi
Et moi,
juste moi
Si tu me demandes, crois moi
Si tu veux rester là, reste là
Et moi,
juste moi
Et moi,
juste moi
Je ne serai pas toujours là
Je ne serai pas à toi
Je ne serai pas toujours là
(juste un peu si tu veux)
Et moi,
juste moi
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5. |
Les Sports Imaginaires
03:50
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Paroles : Alexandredavidgabriel
Les sports imaginaires
Ta répartie quand je te cherche
ton rire quand je te drague
mes mains quand je te caresse
je ne suis vraiment moi qu'avec toi
les sports imaginaires
qui nous font du bien
l'adrénaline quand je t'ai rencontré
ô basson, je toi moi, nous nous.
ô basson nous nous nous nous nous
je te moi nous nous
Un grand suspens
Ta répartie quand je te cherche
ton rire quand je te drague
mes mains quand je te caresse
je ne suis vraiment moi qu'avec toi.
les sports imaginaires
qui nous font du bien
l'adrénaline quand je t'ai rencontré
ô basson, je toi moi, nous nous.
ô basson nous nous nous nous nous
je te moi nous nous
Un grand suspens
un baiser de ma part
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6. |
Je t'aimerai toujours
02:47
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Je t'aimerai toujours, mon amour
Avec moi, tu sauras t'élever
Demi-lune parfaite, les doigts gelés
Tu voudras à jamais me garder
Nous ne jouerons peut être pas les jeunes mariés
Je ne monterai pas à moto
Ce que j'aime dans l'amour c'est qu'on apprend jamais
Ce que j'aime dans l'amour m'effraie
Sauras-tu un jour me dire d'où vient l'amour
que je porte en moi dans les rues
Au delà de « Les Forêts »,je pourrais encore
Si demain tu essayais, je pourrais encore
(t'aimer)
A jamais mon amour je devrais t'aimer
peu m'importe que tu marches ou que tu coures
Les « jamais", les «toujours» du grand amour
pourraient bien m'appartenir en secret
Je saurai te dévêtir
le jour où tu auras
du mal
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7. |
En Jean
04:00
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paroles : Victor Givois
Quand y’a pas de solution
ya pas de problème
viens me dire ça en face,
raclure
assis dans la rosée
un matin ça mouille
l’autre ça passe à côté
viens dire ça à mes fibres
en jean
un chat errant te hameçonne
“toi, l’humain, je te tiens”
il se frotte, t’adopte
te glisse entre les jambes
colosse de Rhodes du rodeur
“je suis plus paumé que tu crois
arrête tes regards d’humain,
en chien de faïence
toi, l’avaleur de kilomètres à pieds
arrête ton TGV”
quand y’a pas de solution,
y’a pas de problème
viens me dire ça en face,
raclure
assis dans la rosée
un matin ça mouille
l’autre ça passe à côté
viens dire ça à mes fibres
en jean
embrasse-le embrasse-le embrasse-le encore
embrasse-le embrasse-le embrasse-le 48 fois
embrasse-le comme la tombe d’Oscar Wilde
quand y’a pas de solution,
y’a pas de problème
viens me dire ça en face,
raclure
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8. |
Every Night
05:28
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I’m sick of this neighborhood
and i’m sick of it all
gonna jump under a bus
and when i’m all broken up
at the hospital
you’ll be touching my cheek
that’s what i wanted you to do
from the start
touching my cheek
from the start
(that’s what I wanted you to do)
cause every night
you’e on my watch
every night
you’re on
i can control your moves
i can watch you walk
i can crawl down your street
and grab you whole
cause every night
you’re on my watch
every night
you’re on
(solo)
every night you’re on my watch
gonna jump under a bus
& when I’m all broken up
at the hospital
you’ll be touching my cheek
that’s what I wanted you to do
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